24 juillet 2006

L'alchimiste


Voilà plusieurs semaines que je modifie ce texte et que je me décide enfin à le publier. Je n’en suis pas encore vraiment content mais il faut bien le mettre en ligne un jour.

Je viens de terminer la lecture de cet ouvrage, j’en profite donc pour en faire un compte rendu.
L’alchimiste s’inscrit comme un conte philosophique. Il a été écrit par Paulo Coelho et publié en 1994. Le roman est assez court et compte 180 pages environs.

Sans dévoiler toute l’histoire, le livre raconte l’épopée d’un jeune berger poursuivant sa quête personnelle qui le mène de l’Andalousie jusqu’en Égypte. Tout le long de son périple, il fait la connaissance de divers personnages qui lui permettent d’appréhender la vie sous différents points de vue.
Le thème principal est le sens que l’on souhaite donner à sa vie et quel but poursuivre tout le long de son existence.

Le style du livre est très simple, je ne sais pas si c’est du à la traduction. Bien sûr ce n’est pas gênant

Après m’avoir été vivement conseillé, je me suis décidé de le lire, je reste tout de même assez dubitatif. J’avoue m’être perdu parmi tous les messages que souhaite donner l’auteur et n’avoir au final retenu aucun. L’histoire est quand à elle intéressante, la trame suit tout à fait celle d’un compte philosophique. Ainsi le personnage principal rencontre différents personnages tout au long du parcours, chacun portant un message particulier.

Il est étonnant de noter que les avis divergent énormément sur ce livre. Certains le considèrent comme un chef d’œuvre, d’autre comme un pseudo livre philosophique et moraliste et enfin certains même comme un simple plagiat.

Pour ma part, je l’ai trouvé plaisant à lire, il est clair que certains passages amènent à réfléchir sur soi. J’avoue tout de même avoir été un peu déçu, je devais m’attendre à quelque chose d’autre. D’un autre coté, je ne suis pas non plus très féru des livres trop philosophique. Il est fort possible qu’une seconde relecture soit être nécessaire pour mieux appréhender le sens du livre.

Roller Rossignol

Introduction

Depuis que Rossignol a décidé d’arrêter la production de roller, on retrouve un peu partout des modèles à des prix très attractifs. Le modèle testé aujourd’hui était disponible à la vente aux alentour de 50 euros. Sa disponibilité n’est plus aujourd’hui assurée, mais il est possible d’en trouver encore quelques modèles en stock.



Première approche


Le principal intérêt de ce modèle vient de sa platine rétractable, en effet il est possible de séparer la platine de la boot. Ensuite, il suffit de marcher comme si on utilisait une paire chaussures ordinaires. Le concept permet de se promener, faire ses courses sans être limiter par les roller. Bien sur, au vue de la forme de la chaussure, il ne vaut mieux pas avoir à faire trop de kilomètres. Ce concept est proposé aussi par
Cette année Salomon a proposé un nouveau concept : le Smartskate. Dans ce cas présent, une véritable chaussure est attachée à une structure proche de la forme d’un roller de fitness. J’ai pu essayer ce modèle en magasin qui m’a convaincu qu’a moitié. J’y reviendrais dans un prochain billet.



Composition :

Le roller est composé :
• Chaussure de fitness
• D’un frein tampon
• D’une platine rétractable
• De roue 78mn en 78a (qui s’usent très vite)
• Roulements Abec 5
• Vis supplémentaire pour utilisation sans frein tampon
• De deux clés Halen nécessaires pour démonter les roues


A l’utilisation

Il n’est pas toujours facile de fixer les platines lorsque l’on n’est pas assis même avec un bon sens de l’équilibre. Un temps assez long est parfois nécessaire pour monter la platine, ce qui peut être contraignant. Mais ensuite, la platine est bien fixée (heureusement) et pour l’instant je ne l’ai jamais perdu en roulant. Marcher avec les chaussure me rappelle les sensation d’une boot de ski, c’est lourd, on l’air pataud, c’est pas le top. En fait, la chaussure est très rigide pour assurer le maximum de protection lors de l’utilisation en roller. Donc on le ressent tout de suite lorsque l’on marche. En plus il faut avouer que son Design est loin d’être fashion, enfin c’est un détail.

Pour l’utilisation en tant que roller, je regrette le système de maintient un peu faible. On ne dispose que de lacets et d’une lanière située en haut de la chaussure. Pour assurer un minimum de discrétion lors d’une utilisation urbaine, la boot est moins montante qu’un patin de fitness ce qui laisse une impression peu sécurisante au départ. Le pied est assez mal maintenu, ce qui oblige à ne pas trop pousser lors du patinage. Heureusement après quelques heures, on commence à s’y habituer. Comme d’habitude les roues livrées d’origine correspondent aux patineurs débutants du fait de leurs duretés très faibles. Le freinage en T et les suffles sont à proscrire si vous ne souhaiter pas les changer au bout d’un mois.

Du point de vue du confort, la chaussure s’avère être moyennement confortable et très loin d’un chausson Salomon. Bien sur cela reste tout de même parfaitement utilisable.



Points positifs :
  • Pratique en milieu urbain pour rentrer dans un magasin
  • Une vis plus courte supplémentaire

Points négatifs :
  • Système de serrage trop faible
  • Roues pas assez dures
  • Design moche ?


Conclusion

Pour 50 euros, le patin Rossignol est intéressant. D’ailleurs il se révèle pratique dans l’utilisation occasionnelle : courses, shopping. En randonnée, la qualité du patin est plutôt moyenne, à utiliser en cas de pluie si l’on préfère rentrer à pied et encore …
Le patin ne peut être conseillé pour une utilisation assidue ou longue du roller, car il est moins confortable qu’un vrai patin de fitness.

03 juillet 2006

Test du Nikon S1

Sortis il y a un peu moins d’un an aux environs de 400€, le Nikon S1 est maintenant disponible pour moins de 200€ L’entreprise Nikon spécialisée dans le monde de la photographie propose un large éventail d’appareils allant du mini compact jusqu’au reflex de professionnel. Le S1 se positionne dans le segment des minis compacts.



La première impression vient de la taille de l’appareil, il est à peine plus gros qu'une carte de crédit. Possédant déjà un bridge, il devient le compagnon idéal des balades lorsque l’on ne souhaite pas se charger. Le boîtier en aluminium, est disponible en trois couleurs argent, noir laqué et blanc nacré. Le modèle testé est blanc. Une autre caractéristique qui attire l’oeil est l’écran de 2,5" malheureusement d’une résolution un peu faible

L’appareil est livré avec plusieurs accessoires
• Une station d’accueil
• Un accumulateur Lithium ion rechargeable
• Un adaptateur secteur
• Une dragonne
• Un câble USB
• Un câble audio/vidéo
• Un CD-ROM contenant PictureProject

L’appareil peut être rechargé en se positionnant sur la station d’accueil ou simplement par l’adaptateur secteur. Il est dommage de constater que le format propriétaire de la fiche, empêche de brancher le Nikon S1 directement sur un ordinateur sans passer par la station d’accueil. Il est en de même pour un branchement sur la TV.



Caractéristiques disponibles sur le site Nikon :
• Pixels effectifs : 5,1 millions
• Taille du capteur 1/2,5 pouces
• Tailles d’image : 2 592, 2 048, 1 024, 640
• Objectif : 3x ; 5,8-17,4mm
• Moniteur ACL : TFT 2,5 pouces 110 000 pixels
• Support d’enregistrement : Mémoire interne : environ 12 Mo, carte mémoire SD
• Clip vidéo : résolution 640 ou 320 à 15 images/s
• Autonomie : Environ 200 images
• Poids : Environ 118 g (sans accumulateur, ni carte mémoire)


Le démarrage de l’appareil est rapide et son fonctionnement aisé pour le débutant. La taille de l’appareil n’est pas vraiment adaptée aux grandes mains. De plus il est assez difficile de le maintenir de façon stable contrairement à un boîtier plus grand. Le mode automatique s’en sort plutôt bien et donne des photos d’une qualité raisonnable. Il existe ensuite un grand nombre de modes adaptés à différentes situations : musée, feux d’artifice, portraits. Chacun est optimisé pour convenir au mieux en modifiant la valeur ISO, l’ouverture ainsi que le temps d’exposition. Les couleurs des photos sont vives mais tendent un peu trop vers le rouge. On peut regretter aussi le bruit trop souvent présent sur les photos même à 100 ISO, c’est le prix à payer pour un boîtier ultra compact. Un autre point négatif est la faible puissance du flash. Par exemple en soirée, il est difficile de prendre un sujet éloigné sans que celui-ci soit sombre. L’autonomie de l’appareil est plutôt bonne et compte environs 200 photos sans flash. Avec flash celle-ci se dégrade rapidement. Le mode vidéo est de bonne qualité et produit des vidéos exploitables mais attention à la taille de celles-ci, car elles ne sont pas compressées. L’appareil informe quand une photographie risque d’être floue. D’ailleurs on peut regretter qu’il n’y ait pas la présence d’un stabilisateur optique.


Points positifs :
  • Taille et poids de l’appareil
  • Autonomie
  • Grand écran lumineux de 2,5’
  • Modes de prises de vue variés
  • Accessoires livrés nombreux
  • Mode vidéo

Points négatifs :
  • Puissance du flash trop faible
  • Bruit important
  • Interface et câble propriétaire
  • Couleurs de photos
Note : 13/20



Conclusion
Le COOLPIX S1 séduit par sa taille ultra-mince et son design épuré. Il peut être glissé dans une poche da pantalon ou de jeans. La qualité de ses photographies est correcte. Il conviendra tout à fait en appareil d’appoint lorsque l’on ne souhaite pas s’encombrer d’un bridge voir d’un reflex.